Dimanche, je participerai au Congrès fondateur de Debout La République,

Parce que je crois en l’avenir de ma Nation et à la continuation de la République,

Parce que je crois en la Laïcité et en l’Egalité républicaine,

Parce que je crois au Suffrage Universel et à son pouvoir souverain,

Parce que je crois que l’Europe n’est légitime que dans la protection des Etats qui la composent,

Parce que je crois à un Monde multipolaire dans lequel la Francophonie n’est pas un vain mot,

Parce que je crois que Nicolas Dupont-Aignan est la dernière chance de celles et ceux, qui, comme moi, croient encore en tout cela.

Pourquoi DLR ?

Pour continuer à défendre ces idées qui me sont particulièrement chères ; l’indépendance de la France, la citoyenneté « à la Française » qui fait de notre patrie une communauté de destin, la défense de son Histoire, de notre langue, en un mot mon attachement à la grandeur de la France.

Cette grandeur ne saurait se retrouver dans une vision raciste, haineuse de l’autre tout autant que la « Fraternité », frappée aux frontons de nos édifices publics, porte un message qu’« Unis dans la diversité » ne saurait jamais remplacer.

Restaurer « le politique », restaurer cette confiance que les affronts, les dénis de nos gouvernants pour les messages des urnes ont gravement entamée, il faut des hommes politiques de la trempe de Nicolas Dupont Aignan : résolu mais ouvert au dialogue, de convictions et non de certitudes « jusqu’au-boutistes », intègre.

Homme politique de haute exigence éthique, qu’il appartient à ceux qui partagent ses valeurs de soutenir.

Par Nicolas Dupont-Aignan

J’ai attrapé mardi soir, « au vol », la chaîne ARTE qui diffusait une série de reportages intitulée « trois crimes contre la planète ».

Je n’ai pu regarder que le premier qui portait sur le trafic de gaz CFC… Et c’était tout bonnement effrayant.
Souvenez-vous il y a 21 ans on interdisait, par traité international, la production de ces gaz car ils détruisent la couche d’ozone. Profitant d’une faille dans le traité qui autorisait les pays émergents à en produire jusqu’en 2010 pour les besoins domestiques, la Chine est devenue le premier producteur de CFC au monde et illégalement le premier exportateur avec une totale passivité des douanes chinoises.
Quant aux douanes européennes elles sont chargées de vider l’océan avec une cuillère à café, des moyens dérisoires associés à l’intégrisme du libre-échange font que ces produits rentrent illégalement en Europe sans trop de soucis. Dans le reportage, le seul trafiquant inquiété, un chef d’entreprise européen, étant frappé d’une peine de 2 ans avec sursis et d’une amende de 600000 Euros… pas très cher payé pour la destruction de la planète. Le CFC est bien moins cher à fabriquer que les produits de substitution et donc les marges sont bien plus importantes.

Parce que nous souhaitons une Europe librement consentie qui soit celle du respect de ses opinions publiques, une économie qui n’exclut pas l’humain, une France qui ne renonce pas à sa spécificité, nous souhaitons à ce Congrès tout le succès qu’il mérite.

Dans un article de VDN, Daniel Percheron, vieux cheval de la maison PS du Nord / Pas de Calais, s’en prenait à l’ancien préfet de région Daniel Canépa. Il lui reprochait entre autre son militantisme affiché pour la politique de Nicolas Sarkozy et son carriérisme…  Petite note amusante au passage, Mr Percheron qui, comme tous les pontes socialistes, se fait le chantre de l’Union Européenne omnipotente et omniprésente, réclame également plus de présence de l’Etat, qu'handicape chaques jours un plus les oukazes de Bruxelles. Entre le beurre et l’argent du beurre, il prend les deux ! Il conclut donc qu’il ne regrettera pas Mr Canépa.  Nous rebondissons ici sur le fait que, outre le départ de Mr Canépa, nous ne regretterons pas non plus le départ de tous ces barons du PS, Mr Percheron le premier, et par extension, tous les petits baronnets de l’UMP aux affaires régionales. Voilà plus de 25 ans que ces 2 partis maintiennent notre région dans un statut de précarité, paupérisation  qui fait à tous deux leur affaire. L’Eglise avait ses pauvres, le PS et l’UMP  ont aussi les leurs, chômeurs, RMistes, salariés pauvres,  qu’ils préfèrent maintenir dans leur état afin de mieux les contrôler… Non,  Mr Percheron et consort, nous ne  vous regretterons pas lors de votre départ.

PW